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 Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges

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Gorbey

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MessageSujet: Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges   Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges Icon_minitimeMar 13 Mar - 16:56

" Mais qu'est ce que tu fais encore......, laisse donc cette plante tranquille Gorbey tu vois pas que tu la martirises"... Orton l'air rieur regarde son compagnon essayé de récolter une plante qu'on lui avait demandé pour une nouvelle potion
"RHAAAAAAAAA laisse moi un peu en paix, ca fais 10 fois que j'essaye, c'est énervant.... AHHHHHHHHH CA Y EST..., je suis bon, je suis bon, je suis bon..."
Orton lui ne riais plus ..... il regardait vers le nord ...concentré... Les druides de reflet de lune les avaient envoyés porter un paquet à Auberdine, le village près de la mer tout à l'ouest.
Le voyage avait été long et périlleux, malgrès le soin pris à les faire passé par les contrefort de l'ouest plutot que par la forêt de Felwood.
Dans un même gest les deux amis se muère en chat des montagne et disparure comme par magie dans les dansante des arbres allentoures.
"un nain, mais que fait il si près du village???" Pensais-je.
Le nain ce faufillait à grande vitesse entre les arbres. Ces vêtements sombres ne laissaient entrevoir rien de bon. Il s'approchait de leur position sans ce rendre compte de la présence des 2 jeunes druides, passa devant eux et commenca à s'approcher de la lisière de la forêt.
Orton jailli, les griffe sorties fendant l'air, mais le nain vif , ascéna un grand revers de la main au felin qui s'écrasa quelques mettres plus loin. Orton eu à peine le temps de reprendre ses esprits que le nain, une dague à chaque main, était déja sur lui. Je repris ma forme tauren en un éclair tout en foudroyant le nain d'un éclat lunaire, qui n'eut que pour seul effet de lui faire rater ca cible. Comprenant la situation le nain sélance dans ma direction, mais il est aussitôt balayé par un énorme ours. Une indescriptible méler s'ensuit, ou s'enchaine cris et grognement coups vicieux et coups de griffe. Les sorts pleuvent mais le nain semble infatigable. L'espace d'une seconde le temps s'arrête.... un genou à terre l'importun tient sa dernière dague à deux main, la lame vers le bas. Son autre arme est planté dans l'épaule de la patte avant droit de l'ours qui chancelle. Tous savent que la dernière passe est arrivée...En un éclair l'ours se rue sur le nain , celui ci se remet sur ses deux pied tout en imprimant à ses membres supérieur un mouvement de bas en haut, et instantanément se consument dans une effrayante lumière bleu-blanc stéllaire...
La forêt est redevenus calme, l'espion git la entièrement brulé dans la position de ceux qui sont mort dans d'attroce souffrance. A coté Orton reprenant ca forme tauren est recrovillé sur lui même, il se tient le visage à deux mains. Voyant l'état critique de mon ami, j'entame alors cette litanie si particulière , comme un subtil mélange de vent dans les feuille de ruissellement d'eau , de craquement d'arbre et de feulement du feu. Empli d'une nouvelle énergie, j'appose mes main. Orton tombe en léthargie. Je mis longtemps à maitriser les poisons qui sévissaient. Une longue marque rouge balafrait le visage d'Orton. Malgrès mes soin elle noircissait déjà grignotent doucement la chair de la plaie.
Je le ramenais le plus vite possible au village ou l'on me confirma la gravité de ces blessures. Un viel elfe m'informa que nous devrions partir.
"Auberdine n'est pas un endroit pour ceux de votre engeance. Nous ne soignerons pas l'un des votre, même si votre utilitez en tant que coursier soit presque prouvée." Le choc fut intense. Comment un elfe peut il parler ainsi de Tauren.... Chancelant mais lucide je sortis de la hutte, portant Orton . Déjà des nains des humain et des elfes se rassemblaient, l'air peu avenant. Je lançais instantanément mon sort de portail vers reflet de lune.
Aussitot arrivé les druides accourrurent. Orton fut emmené enlieu sur ou les meilleurs soin lui serait prodigué.
Logannar le grand maitre des druides vint lui même à ma rencontre. Il me regarda d'un air sévère et énigmatique. Il se retourna et pris la direction de ses appartements, 4garde m'entourèrent et me poussère à lui emboiter le pas. Nous allame jusqu'au refuge des saisons. Lieu ou je n'étais jamais allé car je n'y étaitpas autorisé, aucun tauren de ma connaissance non plus d'ailleur.
Une fois là Logannar me demanda froidement.
"Que c'est il passé?", je lui racontais notre mission et les évènements récents.
" De quel droit avez vous attaqué un membre de l'alliance? De quel droit avez vous pris une décision hors du champ de votre mission? Qui êtes vous pour oser commettre de tels actes? Vous les tauren n'êtes que des sauvage peut être même pire que les orcs" , a ces mots un rictus de dégout se figea sur son visage. "Notre maitre Malfurion nous a expressément demandé de vous enseigner nos secrets TAUREN, et ce n'est uniquement pour ca que l'on s'abaisse à le faire. Mais à mon humble avis enseigner cette vois à votre racene nous apportera que des ennuis. Votre archidruide **sourire cinique** n'aurait jamais du siègé au cercle cénarien. Pour toutes vos fautes, vous serez mis au secret en attendant la venu de Malfurion afin que vous soyez jugé. Vous voyez je reste magnanime. Quand à votre amis il sera renvoyé chez lui, je ne pense pas , vu son état qu'il survivra bien longtemps.
Vous ne connaitrez JAMAIS nos secrets, car nul elfe ne vous les enseignera. Votre seul intérêt est de nous fournir des informations sur nos ennemis, VOUS".
Il résonna longtemps ce rire glacial. Bien après que l'on m'ai emmené au plus profond du refuge des saisons. Bien après que l'on m'ai enchaimé dans ce cul de basse fausse loin sous terre, dépouillé. IL ne restait rien, que les mensonges longtemps proféré.
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Clarane

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MessageSujet: Re: Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges   Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges Icon_minitimeMar 13 Mar - 18:03

Que d'inspiration! Bravo!! cheers
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Gorbey

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MessageSujet: Les chroniques de Gorbey - Le temps de l'éxil   Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges Icon_minitimeMar 13 Mar - 19:29

Les semaines, les mois peut être les années, étaient passèrent. A l'attente avait succédé la peur. A la peur à avait succédé l'angoisse.A l'angoisse la folie, à la folie le vide. Dans le noir complet, au millieu des odeurs de terre et d'excréments, je siégeait. Avec pour seul occupation l'attente du maigre gruau que l'on me servait. Même les séances de tortures du début, mené par un immense elfequi se faisait appelé, "le fils de cénarius" s'étaient faites plus rare puis avaient cessé. Comme un ultime fil de vie je passai la majeure partie de mon temps à utilisé les fines parcel de magie de la terre mère que je percevais. Imaginant que je soignais cette terre désolé, ces rongeurs crasseux qui ne s'intéraissaient plus à moi depuis longtemps.
Et le temps s'écoula dans cet oubli.

"Tiens qu'est ce que c'est que ça" pensais je..... Mon cerveau mit du temps à analydé ces nouveaux bruits. Il y avait longtemps que ne les avais entendu. Le crissement du métal, les gargoullement d'un être qui meurt, les pas lourd des sabot d'un tauren..... UN TAUREN.... comme si il avait été en sommeil dans l'attente de ce momment , mon esprit se réveilla. Je devais réagir, il y avait quelqu'un dehors.je me remis debout, l'effort m'arracha un meuglement de douleur. Mes muscles réapprenait à grande vitesse leur fonctons première. Je chancelais. Au momment ou j'allais atteindre la porte celle ci s'ouvrit à la volé une soulouhette immense , dégagea une impression de rage et de violence apparut. dans les ténèbres seul une balaffre blanche se détachait
"ORTON" soufflais je.
Je refoulais les 1000 questions qui fusait en cette instant. JE ne voulais que sortir.
je n'en crus pas mes yeux, il n'y avait personne, personne pour me garder, personne dans les autres geole.PERSONNE. on m'avait simplement oublier la. Une énrgie nouvelle commenca à émerger du creux de mes entrailles.
Nous sortime enfin , croisant dans la grande salle le cedavre des deux seul gardes posté là . La nuit était noir. La lune ne s'était pas encore levée. Nous allame nous réfugier dasn les montagnes au sud. Mais nous le savions elles n'offriraient que peux de répis. Et puis il nous faudrait ressortir de cette vallé, et il n'existait à ma connaissance que 2 passages dont 1 seulement était accéssible pour deux fuyard. A ma grande surprise 3 orcs était la. Je vis leurs attour.... Je me souvins d'un passage lu dans un livre de la grande bibliothèque des monts du tonnerres... des démonistes... Je regardais mon amis. Je me rendis compte instantanément du changement. il portait une armure de cuir épaisse et sombre un tabard noir brodé d'un motif argent ccomposé d'une hache et d'un crane. Il me déposa à terre.
"je te croyais mort mon ami" dis je,
"moi pas" me répondit il.
"Que c'est il passé?" lui demandais je.
" Après que tu m'ai ramené, il m'ont emmené directement au milieu de la forêt de felwood et mon jeté là, comme un cadavre. ils n'ont même pas prit la peine de vérifier si je respirais. BATARD D'ELFES" eut il de la peine à contenir."je serais mort si un groupe d'orc et de réprouvé n'était passé par la haut même momment. ils m'ont soigné, ils m'ont entrainé, et ils m'ont aidé à te retrouvé. JE fais partie de leur famille maintenant. Il vont nous ramener dans ta nouvelle maison."
"Qui sont ils??" demandias je....
" je te le dirais plus tard, il est temps pour nous de partir".
A cet instant je m'appercus que les orcs maintenait une brêche magique .
"dépèchez vous tout les deux nous avons déjà du être repéré....". Orton me suleva et m'emporta au travers du maelstrom magique. A la fraicheur de la nuit, succéda la chaleur étouffante du nouveua lieu ou nous arrivâmes. Je le pris comme un coup de masse à deux mains et m'évanoui.
"ou suis je...je me souviens ...orton". Une quantité d'informations assaille alors out mes sens.L'airt sent la poussière, un odeur forte et acre. Mon corp tout entier , recent l'air pure et la liberté, mais par dessu s tout, je recent les lien avec la nature, fort comme autrefois, mon énergie revient.c'est à la fois bon et douloureux.
Derrière une porte j'entendis une conversation..
"le conseille des ombres souhaite te voir Orton... tu devras expliquer pourquoi tu as saccrifié 3 de nos démonistes. Et qui est cette "vache" que tu nous ram..." bruit matte, corp qui s'écroule. "ce n'est pas une vache mais un druide nabot mort vivant, ramasse tes os et va dire au conseil que j'arrive!!" ...silence... la porte souvre et se referme vivement
"Gorgey, Gorbey, réveilles toi" me chuchote Orton tout en me secouant. J'ouvre les yeux et je vois mon ami en train de préparé un sac de voyage à la hate. Quelques provisions, 2 gourdes d'eau, un nécessaire de survis.
"On a peu de temps, j'ai fais une erreur, tu dois partir et vite... ne reviens pas me chercher jamais...je t'ai cherché pendant 1 ans tu sais..."
Il m'entraine à pas rapides et furtifs tou au long d'un dédale de grotte et de couloirs.arrivé à un cul de sac ils s'approche d'un mur manipule une roche affleurante et ouvre une porte cachées.
"va tout droit tu trouvera un kodo brun, c'est le mien. pars et ne reviens pas" Sur ces mot il me pousse dans l'embrasure et referme le passage.
"ORTON NONN ATTEND...." trop tard la porte viens de ce sceller...
je n'ai pas d'autres chois, je suis le couloir et apperçios au loin de la lumière je m'approche doucement. un kodo brun scellé broute tranquillement l'herbe autour de son attache. Je ne sais pas ou je suis. La terre au sol est rouge, l'herbe est rare, le paysage aride est clairsemé de cactus. Au loin coule une rivière . je décide de monté le kodo en m'éforçant de me rappeler les cours de monte que l'on me donnait enfant.
1er essais je met un pied dans l'étrier et donne un coup de rein puissant , trop peut être. Je bascule de l'autre coté de ma monture et m'affale dans la poussière sous l'oeil étonné du kodo. Le 2eme essais est un succés, mais ma posture pas très assuré. je tire sur les reines afin de me dirigé vers qu'il me semble être un chemin. Mais ce gros lourd prend bien pus a droite et pars en direction de la rivière.pLus je m'échine à lui faire changé de cap plus il accélère. Descandant sur la plaine bordant la rivière, je me rend comte que le chemin fait un coude pour revenir vers le lieu dont je voulait m'élionnier.Je remerci les dieux en silence.
Pendant plusieur jours je longeais cette rivières en me demandant ce qu'il était advenu d'Orton et en cherchant un guet pour allé sur l'autre rive ou me semblait il le parcour était moin escarpé. Enfin je trouvais un pont garder par des orcs arborant de lourde cuirrasse au insigne de la horde. je retouvais ainsi un semblant de piste.
profitant des tente de vendeur ambulant je m'arrètais .
"ou suis ici ? je suis perdu, je cherche le village le plus proche"
le vendeur me regarde d'un air intrigué..." tu es à la limite des tarides petit. Et le village le plus proche est la croisé des chemin à plusieurs jours de monture vers l'ouest"
La croisé, enfin un nom que je connaissais. C'est le poste le plus avancé des Tauren, c'est aussi un bastion d'affrontement entre la horde et l'alliance, le coin était donc encore très dangereux........
Je repris donc ma route, passant le pont et allant vers l'ouest le plus vite possible. Je me doutais qussi que "le conseil des ombres" auvait dut lancer des hommes à me recherche.
Plusieurs jours s'écoulèrent avant que je ne'apperçoivent enfin les pallissade fortifier .
Du haut de la colline ce que je vis raluma cette énergie sombre que je ressentis à reflet de lune, elle grandissais , et me réjouissait. Dans la plaine une troupe d'elfe de la nuit de nain et d'humain fuyait dans le plus grand désordre... A leur poursuite un elfe de sang, au couleur rouge et blanc suivi d'une petite troupe hurlant leur rage , piétiant les cadavres des assayants morts. Je les vis traversé la plaines et disparaitres loin au nord tpoursuivant toujours leurs ennemis. Le calme revenu je descendis vers La croisé des chemin. La je soignais les quelques blessé. et pris une nuit de someille.
Je me réveillais 2 jours plus tard, l'aubergiste m'accueilli avec un franc sourire, première emotion positive.
" on vous a vus arrivé en haillons sur sur magnifique kodo, on c'est inquiété, que vous est il arrivé????" j'inventais rapidement une histoire ou je me faisait détroussé par des bandit trolls me laissant que ces harde pour seul vètements.
"bha venez avec moi, je peux vous offrir quelques vètement de cuir, ce n'est pas grand chose mais ce sera toujours ca..."
De nouveau équipé et habillé , je repris la route vers Mulgore et les pitons du tonnerres...
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Clarane

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MessageSujet: Re: Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges   Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges Icon_minitimeMar 13 Mar - 23:48

et après?
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Gorbey

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MessageSujet: Re: Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges   Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges Icon_minitimeMer 14 Mar - 0:16

un peu de patience
Very Happy
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Gorbey

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MessageSujet: Les chroniques de Gorbey : le temps du sang (1)   Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges Icon_minitimeJeu 15 Mar - 18:46

Le ciel était bas. Des jours que je suivait la piste large laissé près des contrefort entourant le Mulgore. Elle était large. La terre piétiné laissait voir des centaines de marques de pas distincte. De loin en loin un immense cercle , fistige de campement, ne laissait plus de doutes. Une armée était en marche.
J'arrivais enfin au porte de mon pay. 10 ans étaient passés depuis mon depart et celui D'Orton. J'engageais mon kodo sur le chemin en pente douce menant au plaines. je décidais de rester près des montagnes évitants d'être à découvert. Je hatais ma monture, un sombre présentiment pesait sur mes entrailles. Le premier village n'était plus qu'a quelques heures, j'y serais pour la nuit. La je pourrais prendre des nouvelles.
Je sentis la fumée avant de la voir. Elle venait de loin. Bloodhoof. Je lançais mon kodo au pas de charge. Je mis un temps pour moi infinie à le rejoindre.
Le ciel doucement rosissais du haut de ma colline je voyais le village un peut plus bas. L'alliance y pullulait. 2 immense zeppelin flottait , attaché par des cordages aux abords du village. Les corp dans guerriers tauren mort au combas était jeté dans le lac, les femmes , les anciens et les enfants étaient rassemblés au sud, et enfermés dans de minuscules cages ou ils ne pouvaient rester debout. Je senti mon sang devenir noir à l'intérieur de mon corp. La colère accumulé envenima mes pensée. L'immonde cohorte de nain d'elfe d'humain et de gnome devait etre arrétée. Les elfes m'avait beaucoup appris , il était temps de leur rendre la pareil.
je fis reculé mon kodo afin de l'attacher au bas de la colline, à l'abbris des regards. je contournais la colline et me dirigeais vers les bord du grand lac. je croisais sur ma route une sentinel. Tou en m'approchant de lui à grand pas je l'enracinais et me transformais en ours. Je lus dans ces yeux la terreur. Arrivant à ca à lui je lui arrchais la gorge d'un coup de griffe uissant, et le temps que ca tête ne retombe sur son torse à peine retenu par un lambeau de chair, je l'avais dépassé.
j'approchais du lac la haine collant à flo dans mes veines, mais aussi étonné de cette nouvelle force que je sentais en moi. Je venais d'acquérir la forme sombre.
J'entrais dans l'eau glacé. Audessus de moi la nuit tombait. Je nageais un peu , et me transformais en être aquatique. je plongeais vers les profondeur lugubre du lac, attendant mon heure.

"ils seront aux aguet... ils préfèreront ce battre ici qu'au Pitons du tonnerre pour le gros affrontement. Il faut que je fasse le plus de dégat possible. Dans peu de temps je serais mort mais je ne serais pas seul à mourrir." La nuit était déja avancé quand je remontais vers la surface.
au dessus de moi flottaient les corps sans vie de mes frères.je croisais leurs regard sans vie, m'implorant de les venger, avant qu'ils ne disparraissent dans ces eaux sombres. Je me transformait en ours sombre pour lancer mon assault.

Je sortie la truffe doucement de l'eau puis les yeux. Les gardes sur la berge regardait au nord, tous, le regard nerveux. Une exitation hors du commun régnait dans le camp. Je sortie les oreilles. Les officiers criyais les guerriers accourait les pretre ce répartissaient sur toutes la longueur des troupes. tous ce massaient à l'entrée du pont menant à la route de Pitons du Tonnerre.
Au loin grondait la terre. Ce grondement se rapprochait à vive allure.plus le temps passais plus l'air vibrait sous le martellement lourd des sabots. je regardais moi aussi vers le nord.
Sortant de la forêt une centaine de kodo surgirent et chargère le pont. je vis une dizaine de mages, tout juste arrivé sur les berges, commencer des incantatiosn. "ils vont détruire le pont quant les kodos vont traverser". La berge n'était qu'a quelques metres. Aussitot sorti j e fondis sur le groupe d'humain concentré à leur oeuvre. Arrachant le bras d'un premier avec la gueule, j'arrachais la joue d'un deuxième d'un coup de griffe ascéré. les autre s'arrèterent net ne comprenant pas ce qui arrivait. Je profitais de l'effet de surprise pour écrasé le corp d'un 3eme au sol , enfonçant ca cage torassique sous le poid de mon corp. J'hurlais ma rage , les stupéfiant de rechef. En haut sur le pont la charge des kodo fesait une troué dans les rang de l'alliance., les os craquaient, broyé sous le poind des ennorme monture. Me projetant en avant j'envoais valser deux de mes ennimis dans le lac, m'attaquant instantané men au suivant. Je m'attaquais à ca gorge n'en faisant qu'un bouché. Deux huamin s'enfuirent . Mais au même instant undouble déflagration me prjeta sur le coté. La douleur me vrilla le flanc, une odeur de viande grillé se répandit dans mes narines. Fou de rage je m'élançais contre ces deux mage malchanceux, que je tuais instantanément. J'entendis les mouvement des deux dernier mage ressortant de l'eau . Faisant volte face je me jetais contre eux et le entrainais dans l'eau ou il finire par mourir, privés d'air.
dans le camp la bataille faisait rage. La première charge passé les taurens durent mettre pied a terre pour combattre. Ils se battait comme des démons centimètre par centimètre.
Reffoulant ma douleur je me jetais dans la mélé, tranchant les corps arrchant les membres. Je croisais d'autres ours et lion de mon ordre dans la mélé, mais leur pelage plus clair marquaient leurs manques de "conviction.

A l'aube tout était finit. Une chose me frappa, aucun de ces barbares de l'alliance ne protait les même couleurs. Cette "armée", n'avait pas d'étendard. Halletant, proche de l'épuisement je regardais autour de moi.... Tout n'était que cadavres, sang, destruction, mort. Autour de moi quelques tauren s'approchais un peu craintif. L'ours noir couvert de sang ce transforma en Tauren. L'énergie de l'ours me quitta et je mis un genous à terre.
L'odeur de mort était entêtante ... Je regardais mes mains taché de sang. Qu'avais je fais toutes la nuit ... Je me lançais un sort de récupération . Me relevant j'avisait un groupe de bléssé. Fandant le cercle des importun qui me regardait, je me dirigeias vers eux.
Je passais une bonne partie de la matiné à soigné les bléssé, aidant les druides dépéché pour cela. Nul ne m'addressa la parole .
Au momment ou je décidais de quitter le champ de bataille pour retouver mon kodo. Un immense tauren me hélla :" Hé toi , qui est tu " sa voit était ferme , son ton comme le fil d'une épée... "je suis Gorbey, de retour en Mulgor".
"Où vas tu comme ca , tu ferais peur a un orc avec tout ce sang...". Sous le poid de son regard je n'osait répondre.
" Hé bien Gorbeyderetourenmulgor tu devras me suivre, je suis sur que Cairne Bloodhoof lui même aura des questions à te poser".
je pus aller récupérer ma monture, sous bonne escorte, et nous repartimes vers les Pitons du tonnerre.

Pitons du tonnerres. Elle était la devant moi , aussi paisible et immense que dans mon souvenir, c'était enfin le bout du chemin. Du moin le croyais je.
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges   Les chroniques de Gorbey - Le temps des mensonges Icon_minitime

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